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Channel: LES GRIGRIS DE SOPHIE
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LA DANSE MACABRE DE KIENTZHEIM

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 Difficile à trouver car bien cachée derrière l'église voici aujourd'hui sur les Grigris LA DANSE MACABRE DE KIENTZHEIM ...










 






"En 1517, Holbein a créé une fresque de 31 tableaux représentant une allégorie de la mort. Les tableaux ont disparu avec le temps. Quelques fresques restaurées en 1977 figurent encore sur le mur nord de l’Église.

Sur la droite, un grand tableau évoque les trois morts et les trois vifs faisant allusion à une légende bien connue du Moyen-Age.
Trois personnages, un prince, un doc et un comte croisent sur leur route les cadavres de trois ecclésiastiques les exhortant à la repentance par ces mots :
Tel je fus comme tu es, et tel que je suis, tu seras.
Richesse, honneur et pouvoir sont dépourvus de valeur au moment du trépas."



 Et ailleurs dans le village ....







 Des ex-voto dans l'église 






UN LIEN


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LE PUY-EN-VELAY

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"Ville préservée sur un site unique au monde et dotée d’un patrimoine sacré exceptionnel, Le Puy-en-Velay est un havre de paix et souvent d’expérience spirituelle où il fait bon se ressourcer. Mondialement connue comme point de départ de la « Via Podiensis », chemin de pèlerinage vers Saint-Jacques-de-Compostelle, la ville est aussi un lieu de vacances familiales au cœur de la Haute-Loire.
Au Puy-en-Velay, dans cette ville aux sept rochers, la dimension unique et spirituelle du lieu vous élève immédiatement.
La majesté de la ville est renforcée par la qualité culturelle du bâti : la cathédrale Notre Dame du Puy, inscrite au Patrimoine mondial de l’Humanité, qui abrite la vierge noire et un cloître du 12ème siècle, la haute statue de Notre-Dame-de-France vierge protectrice de la ville, perchée sur le rocher Corneille, le Rocher et la chapelle Saint Michel d’Aiguilhe (82m de haut).
Ville impressionnante par l’expression marquée de sa dualité entre forces spirituelles et forces naturelles, le Puy-en-Velay séduit aussi par ses demeures anciennes et son architecture préservées".


















"La Statue de Notre Dame de France est une véritable prouesse technique du 19ème siècle. Elle a été créée avec le métal de 213 canons pris aux russes, lors de la guerre de Crimée et offerts par Napoléon III à la ville du Puy en Velay.
Œuvre du sculpteur Jean Marie Bonnassieux, elle mesure 22,70 m de haut et pèse 835 tonnes. La Statue a été entièrement rénovée en 2013.
Notre Dame de France a été édifiée sur le point culminant de la ville : Le Rocher Corneille d'origine volcanique à 757 mètres d'altitude.
Le site vous offre de multiples points de vue et un panorama exceptionnel sur la cathédrale, la vieille ville et l’ensemble de la région."






SUR WIKIPÉDIA

LA CATHÉDRALE NOTRE-DAME DU PUY

L’ÉGLISE SAINT MICHEL 


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Aout 2018 


LE PUY-EN-VELAY

LES GRIGRIS DE SOPHIE VOIENT ROSE

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1 ET 22 SARA FALLI
2 MARIE MOREL
3 CATHERINE VIGIER
4 ET 7 ET 10 JOHN MCKIE
6 PIERRE ALBASSER
8 MARGOT
9 SAMANEH ATEF
11 BANSKY
12 CENDRINE ROVINI
13 CHAWAN KASHINAH
14 CHRISTY LEE ROGERS
15 DANIELLE JACQUI
16 DIDIER ESTIVAL
17 PHOTO DIDIER TALDU
18 GWENDOLINE DESNOYERS
19 MARTIN LARTIGUE
20 MICHEL NEDJAR
21 UN " GRIGRIS DE SOPHIE"
23 TATIN (collection Michel Leroux)



LES COULEURS ET LES GRIGRIS DE SOPHIE


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LES DERNIERS DESSINS DE PIERRE SILVIN

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Facebook me donne à voir les derniers dessins de PIERRE SILVIN  et j'aime !

"La créativité n’est pas un don mais elle se situe dans la disponibilité de l’esprit pour la réception d’une manifestation surgissant à l’improviste de l’inconnu. Elle n’est pas le fruit de calculs savants ou d’études préliminaires assidues. Il convient seulement d’être en état d’en recevoir les confidences et de leur faire bon accueil "avait écrit Dominique Jeanson, il avait terminé son article en disant: "Allez, Pierre Silvin, encore, encore !!!".

OUI ! Continuez Pierre à nous réjouir de vos créations  !























Déjà sur LES GRIGRIS en 2016 ICI

Et sur PETITS FORMATS ET PETITS PRIX

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MA COLLECTION (VIRTUELLE) DE SIRENES

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1 FRED LE CHEVALIER
3 ANNE BERNASCONI
4 ATAA OKO
5 HEROLD NIELSEN
6 HIERONYMUS BOSCH
7 JAN IWAN
8 JOËL CRESPIN
9 JOHN MORRIS
10 KABIAN
11 LISA LEE
12 MAGGIE RULEY
13 MAKI HINO
14 MICHEL BLOUIN
15 MINA MOND
16 MOSTAFA SARABI
17 MYRLANDE CONSTANT
19 DANIELLE LE BRICQUIR
21 MINA MOND
22 PERLE HESSING
23 PHILIPPE RAYMOND


LES SIRÈNES ET LES GRIGRIS DE SOPHIE

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" LA LÉGENDE DE LA MORT " D'ANATOLE LE BRAZ.

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Je viens de terminer un livre indispensable " LA LÉGENDE DE LA MORT " d'ANATOLE LE BRAZ 







LE SQUELETTE A LA FAUX


Dans les légendes bretonnes, la Mort est personnifiée par un être redoutable qui n'a rien à voir avec la fameuse Camarde de la mythologie gréco-latine. D'abord, ce n'est pas une femme, mais un homme. Il est réduit à l'état de squelette, mais c'est un squelette habillé : Il est vêtu comme les laboureurs de Basse-Bretagne, d'une chupenn (veste) et de bragou braz (pantalons bouffants) noirs et porte, sur ses longs cheveux blancs, un large feutre à rubans. Sa tête décharnée tourne sans cesse autour de ses vertèbres cervicales pour rechercher les vivants qu'il a mission de détruire. Il est armé d'une faux, mais celle ci est curieusement emmanchée à l'envers, le tranchant vers l'extérieur de façon à prendre les vies quand il agite son bras. Il l'affûte avec un os humain.
C'est l'âme du dernier mort de l'année qui, dans chaque paroisse, remplit pour un an les fonctions de l'Ankou. il entasse ses victimes dans une charrette a cheval délabrée et grinçante (karrik ou karriguel an Ankou ) . Il est traîné d'ordinaire par deux chevaux attelés en flèche. Celui de devant est maigre, efflanqué, se tient à peine sur ses jambes. Celui du limon est gras, a le poil luisant, est franc du collier.
L'Ankou se tient debout dans sa charrette.
Il est escorté de deux compagnons, qui tous deux cheminent à pied.L'un conduit par la bride le cheval de tête. L'autre a pour fonction d'ouvrir les barrières des champs ou des cours et les portes des maisons. C'est lui qui empile dans la charrette les morts que l'Ankou a fauchés.

L'HISTOIRE DU FORGERON

Fanch ar Floch était forgeron à Ploumilliau. Une certaine veille de Noël, il dit à sa femme après souper:
-Il faudra que tu ailles seule à la messe de minuit avec les enfants : j'ai encore une paire de roues à ferrer que j'ai promis de livrer demain matin sans faute, et, lorsque j'aurai fini mon travail, c'est de mon lit que j'aurai surtout besoin.
A quoi sa femme répondit:
-Tache au moins que la cloche de l'élévation ne te trouve pas encore travaillant.
-Oh ! fit-il, à ce moment là, j'aurai déjà la tête sur l'oreiller.
Le temps était clair et piquant quand il retourna à son enclume.
-Nous prierons pour toi, dit la femme, mais souvient toi de ton coté de ne pas dépasser l'heure sainte.
-Non, non, tu peux être tranquille.
Il se mit à battre le fer mais le temps s'use vite quand on besogne ferme. Fanch ar Floch ne l'entendit pas s'écouler et le bruit de son marteau sur l'enclume l'empêcha d'entendre la sonnerie lointaine du carillon des cloches de Noël. L'heure de l'élévation était passée quand tout à coup, la porte grinça sur ses gongs.
-Salut ! dit une voie stridente.
-Salut ! répondit Fanch.
Il dévisagea le visiteur : c'était un homme de haute taille, le dos un peu voûté, habillé à la mode ancienne, avec une veste à longues basques et des braies nouées au dessus du genou.Un chapeau à larges bords rabattus empêchait de voir ses traits.Il reprit:
-J'ai vu de la lumière chez vous et je suis entré, car j'ai un besoin pressant de vos services.
-Sapristi ! dit Fanch, vous tomber bien mal, j'ai encore à ferrer cette roue et je ne veux pas, en bon chrétien, que la cloche de l'élévation me surprenne au travail.
-Oh ! dit l'homme, avec un ricanement étrange, il y a plus d'un quart d'heure que la cloche de l'élévation a tinté.
-Ce n'est pas Dieu possible ! s'écria le forgeron en laissant tomber son marteau.
-Si fait ! repartit l'inconnu...ainsi que vous travailliez un peu plus, un peu moins ! ...Ce n'est pas ce que j'ai à vous demander qui vous retardera beaucoup: il ne s'agit que d'un clou à river.
En parlant de la sorte, il exhiba une large faux dont il avait caché le fer derrière ses épaules.
Voyez continua t il, elle branle un peu : vous aurez vite fait de la consolider.
Mon Dieu, oui ! Si ce n'est que cela, je veux bien.
L'homme s'exprimait d'une voix impérieuse qui ne souffrait aucun refus. Il posa le fer de la faux sur l'enclume.
-Eh, mais il est emmanché à rebours, votre outil ! observa le forgeron. Le tranchant est en dehors ! Quel est le maladroit qui vous a fait ce bel ouvrage ?
-Ne vous inquiétez pas de cela, dit sévèrement l'homme. Il y a faux et faux. Contentez vous de bien la fixer.
-A votre gré, marmonna Fanch ar Floch, à qui le ton du personnage ne plaisait pas.En un tour de main, il eu rivé un autre clou à la place de celui qui manquait.
-Maintenant, je dois vous payer, dit l'homme.
-Oh, ça ne vaut pas qu'on en parle.
-Si, tout travail mérite salaire. Je ne vous donnerai pas d'argent, Fanch ar Floch, mais quelque chose qui a plus de prix que l'argent et l'or : un bon avertissement. Allez vous coucher, pensez à votre fin et, quand votre femme rentrera, commandez lui de retourner au bourg vous chercher un prêtre. Le travail que vous venez de faire pour moi est le dernier que vous ferez de votre vie. Kénavo ! ( au revoir. )
L'homme à la faux disparut. Déjà Fanch ar Floch sentait ses jambes se dérober sous lui : il n'eut que la force de regagner son lit ou sa femme le trouva suant les angoisses de la mort.
-Retourne au bourg et va me chercher un prêtre, lui dit-il. Au champs du coq, il rendit l'âme, après avoir forgé la faux de l'Ankou.



 (photo Google)



CHEZ BABELIO 

UN BLOG QUI RECENSE LES LÉGENDES

ENCYCLOPÉDIE SUR LA MORT

UN LIEN

ANATOLE LE BRAZ SUR WIKIPEDIA 


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LA PORTE D'ISHTAR

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 Tout a commencé par un lien ARTIPS envoyé par Isabelle ...

 1928, Berlin. Des employés de musée s’activent au milieu de gigantesques tables. Ces dernières supportent des milliers de petits blocs d’argile. Voilà un puzzle effroyablement compliqué !
Tous ces morceaux proviennent de la célèbre cité antique de Babylone, en actuel Irak.

 Vers 1900, l’archéologue allemand Koldewey tombe par hasard sur des bouts de brique couverts d’une glaçure bleue… Quinze ans de fouilles plus tard, ces fragments bleus se comptent par dizaines de milliers.

 Entre-temps, les archéologues ont compris à quoi ils avaient affaire : une gigantesque porte de 30 mètres de haut.
Datant du VIIe siècle avant notre ère, elle était faite pour en mettre plein la vue et décourager d’éventuels ennemis. D’où le décor d’animaux gardiens, comme les lions ou les mushussus, des sortes de dragons.

 Grâce à un accord entre l’Allemagne, qui finance les fouilles, et le Moyen-Orient, une grosse partie des vestiges est expédiée à Berlin. Il faut compter 900 caisses, tout de même ! Puis Andrae, l’assistant de Koldewey, lance une idée complètement folle : reconstituer la porte…

 Le défi est considérable. Chacune des anciennes briques a été retrouvée cassée en plusieurs petits fragments. Un véritable casse-tête !
On les trie par couleurs, en isolant celles qui portent un morceau d’animal. Pour chaque bout de patte ou de museau, il y a des centaines de possibilités d’assemblage.

Mais à force de s’arracher les cheveux, Andrae et ses assistants parviennent à reconstituer des pans entiers. Et pour combler les trous, on triche un peu en recréant les briques manquantes.
Deux ans plus tard, la reconstitution de la façade est inaugurée. De quoi donner une petite idée de l’admiration qu’elle provoquait déjà, il y a plus de 2 500 ans…














 
POUR EN SAVOIR PLUS .....

Ce sont les archéologues allemands qui, à la fin du XIXe siècle ont redécouvert la Babylone antique.
La Syrie avait été un champ de fouilles important pour les Français et les Britanniques. Les découvertes étaient visibles à Londres et à Paris.
Avec Babylone, les Allemands avaient une bonne opportunité, car elle n’avait pas encore été mise au jour.
Il y avait eu quelques recherches du côté anglais, mais aucune véritable campagne de fouilles archéologiques.
C’est pour cette raison que les Allemands ont choisi Babylone. Les fouilles ont commencé en 1897.
Ce qui fut révolutionnaire pour l’époque, c’est que la direction fut confiée à un grand architecte, ce qui n’était pas la tradition. En cette fin de XIXe siècle, la science de l’archéologie du Proche-Orient n’existe pratiquement pas. Elle n’est enseignée nulle part.

Robert Koldewey (voir ci-contre) avait déjà une grande expérience des fouilles – en Anatolie – Il était l’un des plus qualifié pour cette tâche.
Il voulait, à travers les fouilles, reconstituer l’architecture des cités disparues.
Il développe une méthode personnelle. C’était un observateur très précis, méticuleux. Il effectue ainsi un inventaire à la pierre près, mesurant chaque brique et la dessinant afin d’obtenir un résultat d’ensemble à partir des résultats partiels.
Avant lui, personne n’avait procédé de la sorte, avec autant de précision.

Pour effectuer cette tâche colossale, Koldewey s’adjoindra un assistant dès 1898. Architecte de formation, lui aussi, Walter Andrae possède un atout majeur, il maîtrise le dessin et l’aquarelle.

 



 En 1899, Robert Koldewey eut son attention attirée par des fragments de briques vernies bleues. Il déplaça les fouilles vers la zone où ces briques apparaissaient en plus grand nombre.
Cependant, au lieu de découvrir un bâtiment complet, les ouvriers du chantier de fouilles ont d’abord trouvé des milliers de fragments de ces briques glacées.
Les fondations de l’édifice permirent d’identifier ce qui devait être l’une des portes d’entrée de la ville.
Des inscriptions, découvertes plus tard, confirmèrent cette hypothèse. Les archéologues avaient mis au jour les vestiges de la Porte Ishtar de Nabuchodonosor II.
Après des négociations avec l’Empire ottoman, les premiers fragments de briques moulées et émaillées furent expédiés à Berlin en 1903.
En 1927, conformément aux règles de partage, c’est-à-dire à la répartition des antiquités découvertes, avec la direction irakienne d’antiquités, plus de 500 caisses de fragments de briques prirent le chemin de la capitale allemande.
C’est à force de patience et d’efforts minutieux que ce puzzle grandeur nature fut réalisé, tout en remplaçant les briques manquantes par de nouvelles.


 La porte d’Ishtar était une des huit portes de la cité de Babylone. Elle était consacrée à la déesse Ishtar, déesse de l’amour et de la guerre, de la vie et de la mort.
La porte est décorée de dragons, animaux sacrés du dieu de la cité Marduk et de taureaux, animaux fétiches du dieu Adad, divinité de la foudre et de l’orage.






 LE LIEN

DANS LE FILM D'OLIVER STONE

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LE CHEVAL DE PLOMEUR

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Ce cheval, je le connais depuis que je suis petite, lors de mon dernier séjour breton j'ai décidé de m'arrêter pour en savoir un peu plus.
Son propriétaire m'a expliqué qu'il l'avait fait faire à un sculpteur ... dont il ne se souvenait plus du nom.
Il est superbe !








Route de Plomeur (29)

Avril 2019


ØSSUR JOHANNESEN A OUTSIDER ART FAIR 2019

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Voici une belle découverte que je dois à la Copenhague Outsider Art Gallery, découverte faite en octobre à OUTSIDER ART FAIR 2019.










Øssur Johannesen est né en 1970 sur les îles Féroé et il vit à Copenhague depuis de nombreuses années.

Øssur est un artiste visuel talentueux mais aussi un musicien, un compositeur et un poète. Son art est original, authentique, personnel, dramatique, sombre et expressif. Toujours empli d'émotions puissantes comme la solitude, la nostalgie, la souffrance et la mort. L'Art Brut à son plus haut point ! 
 
Johannesen aime utiliser le bleu, le noir et le rouge comme couleurs principales de ses peintures à l'acrylique et ses motifs sont souvent des personnages. Il peint l'âme des êtres humains, et aussi la mer, la lune, les anges et les démons. 

Øssur est intéressé par les motifs religieux de Jésus et les arbres aux 4 saisons. En tant que  musicien, Johannesen a enregistré plusieurs CD, et en tant que poète, il a écrit plusieurs livres de poésie.
 
Ossur a exposé dans les lieux suivants:
Eglise de Slagelse, Danemark 2019
Outsider Art Fair, Paris 2019
Projekt Råkunst, Copenhague 2018
Ovartaci Museum, Aarhus 2015
Færinge Huset, Copenhague 2014
Nordens Hus, Torshavn 2012
Galleri Elisabeth, Runavik 2011
Leopold Museum, Vienne 2008
Færøsk kunst, ”Den Frie”, Copenhague 1999
Kunstmuseum, Aland 1998
Kunstnerhus, Oslo 1995
Kontrast, Kunstmuseum, Iles Féroé 1990


Merci Kristine Kimo pour l'envoi de ce texte traduit par Isabelle Pulby (traductrice attitrée des Grigris) et pour ces  photos

Copenhague Outsider Art Gallery
1610 Copenhague V
Danemark
+45 26201814
COAG.DK



POURQUOI J'AIME KAYSERSBERG

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Kaysersberg - littéralement, "la Colline des empereurs" - est un magnifique village médiéval au Nord du Haut-Rhin.

































Très prisé des touristes, situé sur la Route des vins d'Alsace, il partage son grand cru, le schlossberg, avec Kientzheim. Kaysersberg compte un peu plus de 2600 âmes.
Son cachet médiéval confère à Kaysersberg un cachet unique, avec de très nombreux lieux à visiter :
Sur les hauteurs, on retrouve le site des Trois Epis.
Fait notable, Kaysersberg est le lieu de naissance du docteur Albert Schweitzer, Prix Nobel de la Paix en 1952.
Sa maison natale a été transformée en musée, qu'il est possible de visiter toute l'année.


SUR WIKIPÉDIA

UN LIEN

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Aout 2018 

POURQUOI J'AIME PARIS

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Mes bonheurs dans les rues de Paris et ....





 


... place du Tertre, avec une belle rencontre celle d'un artiste talentueux, Adel Gorghy qui est passé des icônes à des tableaux abstraits de très belle facture.








UN LIEN VERS ADEL GORGHY 

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MA COLLECTION (VIRTUELLE) DE CRUCIFIX

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1 ET 2 SLARKO GLAMOTCHAK
3 CATHERINE WILKENING
4 ROLAND DUTEL
5 PODESTA
6 JEAN-MICHEL CHESNE
7 LES STAELENS
8 CHOMO
10 ET 21 ET 22 COMBAS
12 GÉRARD COLLAS
13 HENRY RODRIGUEZ
14 JEAN ROSSET
15 ET 16 JOHN McKIE
17 KASHINATH CHAWAN
18 MICHEL BOETSCH
19 DEMELIS
20 DALI
23 SERGE JOLIMEAU
24 STEPHANE LAURENT

Amis artistes envoyez moi vos crucifix en message privé sur Facebook ou sur lesgrigrisdesophie@gmail.com
 
LES CRUCIFIX DES GRIGRIS

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" LES DEBROUILLAGES" DE FABIENNE MAZAY

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C'est à François Schmidt que je dois cette belle découverte et cette belle rencontre ...















Les "débrouillages" sont mes portes de sortie quand les mots n'ont pas ou plus leur place, et ce depuis plus de 20 ans.
Ils canalisent les émotions, parfois, les exacerbent de temps en temps. Mais toujours le plaisir des crayons sur le papier...toujours.
L'instinct mène la danse; les couleurs et les formes s'assemblent d'une façon non préméditée qui fait un bien fou aux yeux, au coeur et à l'âme.


Et trois autres séries que j'aime beaucoup

 
 

 

 


QUELQUES OEUVRES DE CLAUDINE GOUX

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Chaque œuvre de CLAUDINE GOUX est exceptionnelle !
Chaque œuvre de CLAUDINE est subtile et raffinée, derrière chaque peinture, chaque gravure il y a sans aucun doute de très nombreuses  lectures, une longue réflexion, de belles recherches ( "Elle a lu des bibliothèques entières, elle lit, toujours et encore, affamée de connaissances. Tous ces enrichissements, longuement accumulés, ont fertilisé son univers intime en lui donnant la capacité d’ouvrir des portes sur l’inconnu" a écrit Gérard Sendrey)  mais CLAUDINE ne se prend pas au sérieux, mais CLAUDINE est absolument modeste et donne l'impression de travailler en s'amusant ou de s'amuser sérieusement ...
CLAUDINE travaille sans affectation ...  son travail est raffiné et précieux, n'est ce pas là la marque d'une artiste véritable ?
CLAUDINE mérite de grandes et belles expositions !
Qu'on se le dise !

















CLAUDINE GOUX ET LES GRIGRIS DE SOPHIE

SUR LE HANG ART DE SAFFRE

SUR ARTPULSION

SUR L'ART TOUT SIMPLEMENT

CHEZ JEANINE RIVAIS

(cliquer sur les liens )


LES SCULPTURES DE CHRISTOPHE

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"...Les sujets les plus "humbles" nous donnent ainsi à rêver (le chien du voisin, l'imbécile heureux, le mégalopolien et ses peines de cœur, la jeune fille séduite par le beau parleur, etc...) 
La mythologie est également omniprésente dans son œuvre : l'odyssée d'Ulysse, Icare, Le cheval de Troie, Adam et Ève...
De petits instants du quotidien, de l'ordinaire sont aussi attrapés au vol par son radar bienveillant..."

Olivier Sultan
 

























CHRISTOPHE 

Né en 1963 à Paris. Vit et travaille à Paris

 Sculpteur de poésie, Christophe use de matériaux bruts et les assemble avec grâce. Il a une prédilection pour les actions simples qui nous ramènent à des gestes élémentaires, ceux de l’atelier prolongeant ceux du monde du travail. Mêlés à la mythologie, de petits instants du quotidien sont attrapés au vol par son radar bienveillant

 Les sujets les plus «humbles» nous donnent ainsi à rêver...






 UNE VIDÉO

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Christophe expose à Verdun




DAREDO VUE PAR PLUMOVAN

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LES PAS DE L'OMBRE

 L’Ombre chevauche la bête, sous les soleils voraces ‒ corps ouvert, cœur ouvert ‒ ; Elle décerne à tous le message. Dans l’ordre des choses, on trouvera : les accords serpentins des grands et des petits fleuves, l’épanouissement des fleurs mutiques au milieu des jardins, le souvenir des caresses et celui des stridences, l’hypnotique des marées de septembre et le tombeau des illusions…

L’œil, la bouche, le nez, l’oreille, la main : tout régaler du Suave Festin.
Les sirupeux accords du monde montent en l’Ombre, depuis Ses racines jusqu’à Sa ramure.


     Et voici que l’heure se fait immense, qu’elle rafle le ponant, le levant ; et voici qu’existe ce jour qui ne connaît plus de lisières, plus de sommeils. Déjà, la balafre creuse le corps de nuit de la Cavaleuse, à la pliure ‒ où sont Sa mémoire et Son oubli.

     Elle parle au chien, au loup. Elle parle au sage, au fou. Elle chiffonne la feuille des cauchemars ; Elle met Son rêve au monde. La grêle des pollens nouveaux irrite un peu Sa fibre lointaine, éclaircit Ses chairs d’une aurore passagère.

     C’est alors que nous décidons de La suivre, décillés. Et dans l’ordre des choses, nous trouvons : le problème et sa résolution, le maquis infinis des neuves amours, l’éclat des initiales espérances, le pont sur la rivière songeuse…

L’œil, la bouche, le nez, l’oreille, la main : nous régaler du Suave Festin.
Les sirupeux accords du monde montent en nous, depuis nos racines jusqu’à notre ramure.
 



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L'ENVIRONNEMENT DE VEIJO RÖNKKÖNEN A PARIKKALA: QUELQUES GROS PLANS

CHRISTOPHE RONEL AU CENTRE D'ART CONTEMPORAIN DE LA MATMUT ... QUELQUES OEUVRES

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Pour accompagner mes photos aujourd'hui un texte de l'artiste :

Ma peinture est liée tout autant à un goût irrépressible de l'assemblage et de la collecte qu'à l'attrait du lointain : cueillir, saisir des morceaux d'instants dans des petits carnets, sur des feuillets libres, laisser fermenter cela jusqu'à ce que l'imaginaire jaillisse dans la magie d'inconscients assemblages.
Combien de terres lointaines, de cités anciennes, de sanctuaires ou de ports faut-il avoir croisés, combien de visages, de processions et de fétiches faut-il avoir rencontrés, d'encens respirés avant que tout cela se cristallise en agencements insoupçonnés ?
Face à l'esthétique du dépouillement, je choisis de figurer la densité, la plénitude, les spasmes des foules, la longue transhumance des peuples polychromes, le grand cirque de la vie avec son lot de farces et sa piste ronde au centre de laquelle parade un immense pachyderme en équilibre précaire.
Le tableau traversé de souffles vitaux propose en somme un défi enivrant : représenter une pensée en action, peindre un monde multiple en vision panoramique, donner l'illusion d'embrasser le grand tout.
La peinture dévoile l'autre côté du réel, cet ailleurs longuement désiré, elle révèle le besoin vital de "se" parcourir comme on le ferait d’un pays, de voyager en soi.








 
















Et le trés beau texte d'Iléana Cornéa: "Christophe Ronel, étrange métier que d’être peintre…"
publiè dans  Artension en 2018 :

Ses oeuvres semblent proches de miniatures persanes. Ces traits ronds comme Ronel s’érigent en totems, organisent des voyages extraordinaires à dos d’éléphant ou dans des arches antédiluviens. Ils ouvrent l’espace-temps ignoré par le profane où l’homme, la flore et la faune, la nature tout entière communiquent. Et ses architectures semblent fêter la beauté d’un monde harmonieux.
Fils du peintre paysagiste Marcel Laquay, il n’a pas échappé au métier. Il y a des histoires comme cela, comme à la Renaissance, artiste de père en fils. De peinture, il est nourrit au biberon. Puis des livres, des musées, des conversations… Dans ce petit milieu où la peinture est le centre d’intérêt du ménage, on est un peu en dehors du monde ordinaire. On développe la culture du détail et de la forme, on appelle les couleurs par leurs noms, on pèse la densité des matières, on se réjouit de la beauté des motifs. Même les griffures de murs et les taches disgracieuses relèvent de la magie pour l’oeil qui travaille. Intercepter les rapports entre les choses procure un étonnement sensuel et un plaisir fou.
N’est pas artiste qui veut. Le peintre apprécie autrement la peinture parce que toute l’orientation de son être et de son esprit est à l’oeuvre pour discerner les symptômes des choses qui nous entourent, diagnostiquer leurs apparences, analyser les degrés qui les différencient… extraire leur beauté, leur laideur. Tout ce qui le préoccupe c’est de transmettre ce monde impalpable qu’est le monde vu par la culture de l’émotion et de l’imagination. Pour lui, toute la difficulté consiste dans le saut qu’il doit accomplir entre l’oeil et la feuille vierge, écrivait le critique allemand G.E. Lessing au XVIII° siècle. L’outil est important : C. Ronel trouve un papier et me montre un drôle de « pinceau feutre à la pointe fine. On me l’a offert au Japon. Il résorbe et donne une gestuelle très particulière…Il faut travailler par écrasement, on peut même en faire des taches ». Une tête cernée par endroits en résulte comme par enchantement. « Une mine de crayon ne donne pas les mêmes écritures. »
Carnets de passages.
Très tôt, C. Ronel est sensible à la liberté introduite dans l’art par les artistes bruts. Il admire Auguste Lesage par exemple, et aussi le traitement de la matière par le mouvement CoBrA, et son esprit est étrangement réceptif à la cosmologie. Contrairement à la plupart des artistes contemporains qui s’inspirent des images du web, C. Ronel glane ses idées sur le vif. Ces carnets de voyage rendent compte de la réalité foisonnante du monde tel qu’il est, avec ses paysages, ses visages, ses couleurs et ses croyances invisibles qui le doublent et l’épaississent. C’est une écriture à part, rapide, percutante. Une fois à l’atelier un autre travail commence. Un travail d’intériorisation où la réalité se transforme en poésie.
Les titres répondent à l’image : La conférence des oiseaux, par exemple, est une véritable noce de Cana cosmique. Hommes, femmes et oiseaux festoient dans un ailleurs à la fois intérieur et extérieur. Le trait courre, s’arrête, hache, repart, se prolonge, se tortille, s’affirme rond et précis, jouant de toutes les gammes majeures et mineures, inspirant des mélopées étranges, s’enrichissant des rythmiques endiablées. L’univers est frontal comme la peinture avant l’invention de la perspective, mais les plages monochromes ouvrent des horizons au-dessus des mers et des fleuves, au bord desquels la vie, toujours la vie, mélange ses voeux aux mystères de l’univers.
Sinuosités, hachures, inscriptions s’accordent aux lumières ocre, les rouges pourpres s’enflamment, les bleus reposent le regard. Les personnages, les paysages, les éléphants, les rhinocéros, les êtres fantastiques  vivent des aventures fabuleuses, dans des pays dont la réalité est attestée par ces images aux mille facettes. Et quand tous les mystères de l’Asie miroitent dans une tache lumineuse et aquatique, on se dit : étrange métier que d’être peintre. N’est-ce pas ?


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