Un jour Antoine Rigal a publié cette oeuvre sur Facebook et Danielle Jacqui lui a envoyé ce
beau commentaire...
"Tu es toujours dans ton entièreté, avec le reflet de cette empreinte géniale et génétique qui t'habite et sans doute te dépasse. Des multiples qui ne font qu'un, Toi ! Je ne sais pas si tu peux me comprendre. J'ai toujours moi-même ce même personnage qui ressemble à ma mère qui revient dans mes peintures sans que j'aille le chercher. Je l'appelle "mon terrible"!
Bien amis toujours et encore. Danielle"
L’œuvre d’Antoine Rigal se nourrit de ses fantasmes et de ses obsessions, de sa colère et de ses déceptions. C’est une œuvre dérangeante au caractère brut, qui délivre un message sans concession, sans pudeur. « Ma vie privée appartient à tout le monde», répète-t-il. L’artiste peint son dégoût tout autant que son besoin irrépressible de la femme, de la drogue, du sexe, de l’alcool ; plus encore, il peint sa quête sans fin d’un amour qui ne cesse de fuir.
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